Une nouvelle phrase défend la travailleuse même si elle n'a pas été informée de sa grossesse

La Cour constitutionnelle a franchi une nouvelle étape dans la défense des travailleuses avec une peine exemplaire qui contribuera à créer un précédent.

Jusqu'à présent, la femme enceinte devait informer son employeur de son état afin que le non-professionnel puisse déterminer en cas de licenciement s'il y avait ou non atteinte à un droit fondamental.

Cependant, cette phrase est nouvelle car la Cour estime que Il n'était pas nécessaire que la travailleuse informe son statut. Au moment de la licencier, la femme avait quatre mois, son intestin était évident et, comme elle le dit si bien, tout le monde dans l'entreprise était au courant de sa grossesse.

La femme travaillait en tant qu'administratrice au sein de l'association provinciale du métal de Badajoz. Il a reçu une lettre de licenciement abusif et s'est adressé au tribunal pour demander la nullité de son licenciement car il la considérait comme discriminatoire.

Les cours pré-constitutionnelles ne lui en ont pas donné la raison, mais il la lui a finalement donnée. La chose favorable à propos de la phrase est que les entreprises ne peuvent prétendre à l'ignorance, ils ne pourront pas compter sur le «ne sait pas» pour lancer la balle, car il est très difficile de prouver que la femme enceinte a effectivement notifié son statut ou non.

Il n'est pas nécessaire d'aller travailler avec un signe collé sur le front, la grossesse étant un état évident, la peine est donc une bonne nouvelle pour la poursuite de l'égalité professionnelle entre hommes et femmes.